Your shopping bag is empty
Go to the shopLes fourrages, les tourteaux et les graines contiennent en moyenne entre 0,1 et 0,4 milligramme d’iode, les graines entre 0,02 et 0,06 milligramme.
Les sols proches de la mer (jusqu’à 50 kilomètres) sont enrichis par l’iode atmosphérique présent dans l’eau de pluie.
Les concentrations les plus élevées se situent dans les îles océaniques, les régions côtières du Pacifique Sud ainsi que dans les mines de salpêtre du Chili.
L’eau en moyenne ne contient que 10% des besoins journaliers en iode.
L’iode est principalement absorbé au niveau du gros intestin à raison de 90% chez le cheval.
L’iode est un élément important de la glande tyroïde qui produit deux hormones impliquées directement dans le métabolisme énergétique.
L’iode participe également à l’édification de la trame osseuse via les hormones thyroïdiennes.
Contrairement aux autres espèces, le cheval est d’une grande sensibilité aux excès d’iode (10 à 100 fois plus sensible).
Les besoins en iode évoluent parallèlement aux secrétions de la glande thyroïde, mais aussi lors de la lutte contre le froid.
Le canola, le colza, le chou et dans une moindre mesure le soja sont des antithyroïdiens. Une supplémentation bien dosée peut être alors recommandée ainsi que chez les juments reproductrices pendant la gestation et la lactation.
3 à 4 milligrammes pour un cheval de selle de 500 kg à l’entretien.
Goitre hypothyroïdien (élargissement de la glande thyroïde), troubles osseux, énergétique, fatigue. Au Canada et aux États-Unis, la majorité des sols (sauf ceux exposés à la mer) sont déficients en iode, ce qui exposent les chevaux au goitre. Les chevaux âgés sont moins exposés.
Les poulains naissants et dont la jument a été privée ou excessivement nourrie d’iode sont plus à risque. Le calcium en quantité très élevée interfère avec la résorption de l’iode.
Le seuil de toxicité se situe vers 50 milligrammes soit plus 10 fois les besoins journaliers.
Goitre hypothyroïdien, troubles énergétiques, déformations des membres.